Don't Stop Me Now

Le blablacar

 

Parmi les détails non racontés au cours de mon périple français, il y a eu un problème de réveil. "Évidemment !" êtes vous en train de vous dire un demi - sourire sur le visage... Mais, figurez vous que je n'en suis pas entièrement la cause, et, en plus, ce n'est pas la raison principale de ce petit couack. En gros, je vous dis ça juste pour vous provoquer. Voilà l'histoire :

 

Le jour de mon départ de Montpellier, je me suis réveillée à 10h, certes, c'est déjà un peu tard pour quelqu'un qui doit se taper 5 heures de stop le jour même, mais pour ce qu'il me restait à préparer, ça allait et puis il fallait bien que je dorme un minimum.

 

Je finis donc de ranger mes sacs et occupe le reste de mon temps à trouver des bribes du carnaval militant de la veille sur internet sans succès ( Lien vers un autre article #PapaIsImpressed). Et j'attends patiemment que les deux ronfleuses qui me servent d'amies se réveillent... Ok j'abuse Anna était malade et Lorine n'est pas mon amie (mais ma belle - sœur). Une fois la chose faite, j'embarque tout ce que j'avais oublié sur le bureau, je replie mon duvet qui avait été squatté et après d'intenses aux revoirs, je pars !

 

J'arrive à 13h30 sur le rond point toujours indiqué par le même site et toujours considéré comme le lieu où le stop est le plus facile mais sans les objections d'Anna cette fois-ci (Je t'aime). Et, 20 minutes plus tard, mon trajet commence avec les deux portugais.

 

Puis, c'est là que Judikaël et Nick interviennent ! Ils me prennent sur un bout d'autouroute qui me mène à Toulouse. Or, eux, s'arrêtent légèrement avant pour récupérer des gens en covoiturage. Je leur demande alors de me déposer sur la dernière grosse aire avant leur sortie afin que je puisse trouver mes futurs compagnons de route. Mais, Judikaël sûr de son expérience en stop me dit qu'il vaut mieux que je sorte avec eux, etc (etc = argumentation inaudible car, de toutes manières, je n'ai plus le choix, on vient de passer la dernière aire et on est dans la sortie).

 

Une fois arrivés à leur lieu de rendez - vous, on regarde une carte et, on constate qu'on est pas du tout au bon endroit pour moi. Ils me proposent alors aimablement de me rapprocher un peu plus en voiture. Mais, lorsque ses covoitureuses arrivent, force est de constater que, je sois moi ou une feuille en 2D avec un sac de 15 kilos, il n'y a pas de places pour nous dans cette voiture.

 

Il me faut donc traverser tout Toulouse en transport pour rejoindre le rond point qui mène à mon autoroute. Une fois arrivée la bas (aux alentours de 18h) tout ce que je trouve c'est des voitures qui me klaxonnent, d'autres qui me regardent avec dédain et des bus sans voyageurs. En plus de tout ça, on est dimanche...

 

Au bout d'une heure environ d'attente, j'envoi un message à mon hôte du soir pour l'informer de la situation. Sans paniquer, elle me propose de prendre un blablacar, je lui dis que je suis partante mais que je peux aussi passer la nuit par ici et la rejoindre le lendemain. Dans la panique, elle le réserve et me voilà avec un super compagnon de route pour Dax moyennant une petite somme d'argent.

#MerciBeaucoupMarine #MalgréToutCeQueJePeuxDireJetaisBienContenteDeLavoirJoachim

 

Je suis arrivée a 22h à Dax où j'ai été prise immédiatement en stop par une fille que je connaissais et sa mère qui m'ont ensuite accueilli chez elles pour 3 nuits. Clin d'œil (Petit smiley d'aide à la compréhension et parce que mon père dirait qu'ils sont bien sympas mes articles mais ça manque de smileys quand même).

 

P.S. : Vous avez compris le super jeu de mot avec mon image ?



14/10/2016
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